Jour 49 :

Ce soir je fais des fausses ailes épicées, accompagnée de riz et de légumes. J'aime quand mes légumes sont juste pitchés dans la poêle à la fin, pour qu'ils soient chaud, mais encore croustillants!

Les "ailes" viennent en sachet, avec une sauce épicée à ajouter à la fin de la cuisson. C'est dans mes repas préférés de chez Gardein!

le sachet :  

Les apports :

Jour 48 : Nachos!!

Le genre de truc que tu manges avec bonheur devant une vielle série télé boboche, avec une bonne bière, un après-midi d'hiver quand il fait -30 dehors...

Dans une plaque à biscuit, tu met une couche de chips genre tortilla, tu met des piments forts, tu mets des olives et du Dayia. Tu recommences. Et encore.

Tu mets ça à 350 environ, pendant peut-être 15-20 minutes. À la fin, si tu le sens bien, hésite pas de mettre tout ça à broil quelques minutes.

Tu sors ça, tu ajoutes de la sauce et de la crème sure maison.

hm.hm.hmmm! :P

Jour 47 : Crème sure

Le grand projet bonheur aujourd'hui : un nachos vegan... et qui dit nachos, dit crème sure!

Je posterai la photo du nachos en tant que tel bientôt, mais pour aujourd'hui, la crème sure à elle seule sera à l’honneur, puisque vous pouvez l'utiliser de plein de façon!

La recette est juste ici!

Jour 46 : Fettucine aux boulettes

Il y a des jours où ça fait du bien de ne pas faire compliqué.

J'avais envie de spag, mais il me restait des fettucines, alos j'ai simplement fait cuir les pâtes comme à la normal, et j'ai fait revenir la fausse viande et les boulettes de Gardein que j'ai ensuite incorporé à une vulgaire sauce à spag d'épicerie.

Saupoudré de grandes de chanvre, de lin et de chia.

Lettre à toi qui ne me reconnait plus

C'est la fête. C'est la joie. Des sourires et des cadeaux. Tu es content, tu veux me faire plaisir. Mais j'ai changé, pis pas toi.

Tu me donne des sourires : je suis éclaboussé. Tu ne t'en rend pas compte mais je dois serrer les dents derrière mon masque. Et faire semblant. Avec, dans ma tête, des images que tu as fait exploser.

Je dois dire merci et sourire.

Parce que j'ai changé.

Pis pas toi.

.

Du plastique, du jetable, du made in cheapos.
De la désuétude pré-programmée.
Des enfants exploités, des bêtes écorchées vives, une flaque d'huile sur l'océan.
Depuis la Chine jusqu'à ma porte d'entrée.
En passant par le Dollarama.

...

il est beaucoup plus gros que tu ne le crois, ton cadeau.

mais tu ne t'en rend pas compte.

Et je ne peux même pas t'en vouloir.

...

Message à toi qui n'a pas changé : je t'aime. Je n'ai pas besoin de cadeau. Je n'en veux pas. Parce qu'il est lourd de conséquences, parce que je n'ai pas envie de faire semblant. Parce que je ne veux pas t'attrister en le refusant. Parce que je t'aime, et ce que je veux, c'est juste être là, avec toi.

...

Je ne suis pas un bon argumentateur. Parce que je n'aime pas la confrontation. Je ne suis donc pas le mieux placé pour t'expliquer mes choix. Si je le fais, c'est toujours pareil : tu écarquilles les yeux, tu met ta main sur ton front, tu prend une grande respiration, et tu éclates.

Tu deviens subitement expert en nutrition, en budget ou mieux, en changements climatiques. Tu ne peux pas comprendre que je puisse me passer de quelque chose que toi, tu considères vital et tu te dis que quelque chose cloche avec moi, puisque la majorité est de ton bord.

Tu te retiens pour me dire à quel point tu ne me comprend pas.

Moi, depuis ta main sur ton front, je ne dis plus rien. J'aimerais en fait ne plus t'entendre, parce que tu me fais mal. Pis encore-là, tu ne t'en rend pas compte. Pis je ne peux toujours pas t'en vouloir.

...

Tu me balance ce que tous les haters me balance. Les même rengaines...

... tu sais quoi ?

Si tu veux me faire un cadeau, accepte-moi.

J'ai changé.
Je me suis trouvé.
Je suis fier de ce que je suis.
Je m'aime maintenant comme je suis.
Je suis bien.

Vraiment.

.

Message à toi qui n'a pas changé : moi, j'ai changé.

Mais je t'aime encore.